Opposition à la nouvelle autorisation de forage de Béton Lyonnais.

C’est l’occasion pour nous d’apporter un soutien à tous les riverain.es qui souffrent des nuisances de l’entreprise Bêton Lyonnais à Décines. Nous avons été très surpris d’ailleurs que la préfecture autorise un nouveau forage dans une zone de protection de captage d’eau potable qui se trouve être également un périmètre Penap (zone de protection d’espaces naturels et agricoles). Je veux attirer l’attention des conseiller.ères métropolitain.es sur ce point. Nous affirmons notre désaccord avec cette nouvelle autorisation de forage.

Contraception : que les hommes prennent leur part

Ce dont je veux vous parler aujourd’hui, c’est du 17 à-éthinyl_estradiol, communément appelez l’EE2. Une molécule mille fois plus puissante que le bisphénol A. et surtout qui traverse bien plus la barrière placentaire et encéphalique. Elle est pourtant consommée tous les jours par plusieurs millions de personnes en France. Je veux parler de la pilule oestroprogestative dont elle est le principal composant.Ainsi, la pilule répond précisément à la définition de ce que l’on appelle un perturbateur endocrinien. Inventée pour perturber volontairement le cycle féminin via l’apport d’hormones synthétiques.Un état de fait qui reste encore extrêmement tabou.

Transformation du Sytral : les nouveaux objectifs

La transformation du SYTRAL en établissement public local sur un périmètre élargi regroupant les communes de communes du Rhône et au-delà est une bonne nouvelle sur le front du changement des mobilités. Il va être désormais plus aisé de proposer aux usagers un service unifié des mobilités, de proposer à moyen terme un interlocuteur unique pour les solutions de mobilités alternatives à la voiture individuelle sur un large territoire.

Le droit à se loger décemment et dignement

Nous sommes pour la réquisition de logements vides. Un décret du 24 juin 2019 ouvre la voie à la réquisition en permettant aux préfets de saisir des locaux professionnels et logements vides ou insuffisamment occupés pour « toute personne sans-abri en situation de détresse médicale, psychique ou sociale ». Voilà aussi les raisons pour lesquelles nous considérons le logement comme un véritable bien commun, au même titre que la santé, l’accès à l’eau ou à l’énergie.